mon mari m’a trompé, comment y faire face?

Déconstruisez les modèles pré-établis et repensez votre relation à la suite d’une infidélité

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Nous aborderons le sujet de l’infidélité et de ses conséquences pour un conjoint trompé. Il souligne que la découverte de l’infidélité est bouleversante et perturbe l’esprit, provoquant des émotions telles que la colère, la tristesse, la déception, l’hésitation, le désir d’oublier, le pardon et le besoin de fuir. l’analyse traditionnelle explore différentes raisons possibles derrière l’infidélité, notamment des problèmes sexuels, un manque d’affection ou de communication, ou encore des sentiments développés pour une autre personne.

Il reste à soulignéer que la décision de rester avec un partenaire infidèle ou de partir pour repartir sur de nouvelles bases est personnelle et demande une réflexion approfondie. Si la décision de quitter la relation est prise, cela peut entraîner des difficultés émotionnelles, mais la reconstruction individuelle est possible. Dans le cas où le couple décide de reconstruire la relation, il est certains que cela demande du temps, des efforts et une volonté sincère des deux partenaires pour reconstruire la confiance et résoudre les problèmes sous-jacents.

il faut mettre également en évidence l’importance de prendre soin de soi après avoir été trompée, de reconstruire son estime de soi, de s’appuyer sur le soutien de proches, de se concentrer sur le bien-être émotionnel et physique, et d’entreprendre des activités qui favorisent la guérison personnelle.

En fin de compte, la décision de rester ou de partir dépend de chaque individu, et il est essentiel de se donner le temps nécessaire pour réfléchir, de prendre en compte les conséquences de sa décision et de faire confiance à son propre jugement. Quelle que soit la décision prise, il est recommandé de se reconstruire et de se concentrer sur sa propre guérison: Vous souhaitez avoir une discussion avec un de nos coachs à ce sujet? Des

Homme célibataire depression
Peur de rester célibataire : raisons pour lesquelles vous ne rencontrez pas l’amour

Après avoir diné avec des amies il y a quelque temps, vous avez réalisé que vos soirées n’étaient plus aussi agréables qu’avant. Certaines amies étaient célibataires, mariées ou avec des enfants, et étaient toutes incapables de maintenir une conversation intéressante sur un sujet autre que la recherche d’un partenaire ou le désir d’avoir des enfants. Vous ne pouviez plus profiter de votre propre compagnie. Cette situation est un exemple parmi d’autres, où les femmes indépendantes et amusantes ne semblent avoir d’autre but que de se caser. Cette peur pathologique de ne pas être en couple, appelée anuptaphobie, est causée par la pression sociale pour trouver un partenaire et avoir des enfants. Cette pression est accentuée pour les femmes dans la trentaine, qui ressentent l’horloge biologique. Les enjeux sociaux, la valorisation de l’amour, la réussite sociale et les crises modernes rendent plus difficile de traverser la vie en solitaire. Les personnes anuptaphobes souffrent d’anxiété et d’obsession en lien avec l’idée d’être en couple, avec un grand problème d’estime de soi probablement causé par des ruptures traumatisantes, des rejets ou des abandons de figures d’attachement dans leur passé.

Cet exemple est représentatif d’une situation courante. Les femmes que nous avons toujours perçues comme intelligentes, amusantes et indépendantes semblent soudain ne chercher qu’à se mettre en couple. En soi, cela ne devrait pas être un problème, mais cela pose un souci quand ce désir se transforme en obsession ou en condition sine qua non pour mener une vie épanouissante et complète. Cette peur pathologique de ne pas être en couple et de rester seul est connue sous le nom d’anuptaphobie, c’est-à-dire la peur de rester célibataire.

Des symptômes fréquents nous permettent de reconnaître une personne souffrant d’anuptaphobie :

  • Une victimisation excessive de ne pas être en couple ;
  • Du libertinage non réfléchi et des comportements limites ;
  • Une tendance à catégoriser les personnes de son entourage comme “célibataire ou en couple“. À l’occasion, ces personnes peuvent employer un langage agressif et vexant avec leur entourage.
  • Elle pose des questions sur les relations sentimentales des autres, et spécialement sur les relations sans engagement qu’elle considère comme immatures ou inutiles.
  • La personne voit le mariage et les enfants comme une chose stable et sûre.
  • La personne débute une relation avec une autre sans se soucier de la romance. Elle aura les mêmes goûts et les mêmes opinions que son partenaire par crainte d’un nouvel abandon.
  • La personne est incapable de profiter d’activités sans être en compagnie de son partenaire.
  • Une fois en couple, la personne a un intérêt particulier pour exhiber ce bonheur d’être en couple devant les autres.

La pression sociale pour trouver un partenaire est largement répandue dans notre monde, où tout semble être conçu pour stimuler le désir d’avoir une relation et fonder une famille. Dans la société traditionnelle, le succès est souvent associé à la capacité de trouver un partenaire et de fonder une famille avec lui. Même les personnes qui ne ressentent pas initialement ce besoin peuvent le développer avec le temps, car le temps libre diminue considérablement à mesure que nous vieillissons et que nos amis et connaissances se marient ou se mettent en couple. Bien que le désir de trouver un partenaire soit présent chez les hommes et les femmes, il semble que les femmes, en particulier à partir de la trentaine, puissent développer une anxiété pathologique liée à leur statut de célibataire. Les références à l’horloge biologique féminine dans la société amplifient cette anxiété, en particulier chez les femmes qui se sentent déjà vulnérables et qui s’interrogent sur leur incapacité à trouver un partenaire.

Certaines personnes peuvent développer ce besoin de trouver un partenaire, même si elles ne l’ont pas ressenti auparavant, en raison de plusieurs facteurs. L’un d’entre eux est l’âge : à mesure que nous vieillissons, nos vies peuvent devenir plus occupées et notre temps libre peut diminuer considérablement. De plus, de nombreux amis et connaissances peuvent se mettre en couple, réduisant ainsi le temps que nous passons à socialiser et à bavarder avec eux.

Bien que certaines personnes ne ressentent pas ce besoin, elles peuvent la développer : arrivées à une certaine tranche d’âge, le loisir se réduit de manière considérable dans nos vies. Beaucoup d’amis et de personnes ont un partenaire, et utilisent beaucoup moins leur temps pour s’amuser et bavarder entre amis.

Célibataire, luttez contre la dépression et l’anxiété!

le célibat et la dépression

Une enquête Ipsos* a révélé que 38% des célibataires interrogés souffrent d’un niveau d’anxiété généralisé, soit un pourcentage supérieur à celui de la population française en général. De plus, plus de 60% de ces personnes présentent des symptômes dépressifs (contre 47 % dans la population générale), ce qui souligne la difficulté pour les célibataires de vivre seuls. La pandémie et les confinements successifs ont considérablement réduit les possibilités de rencontre pour les célibataires, ajoutant à leur anxiété et leur inquiétude quant à l’avenir. Toutefois, il est essentiel pour les célibataires de ne pas se laisser envahir par la déprime et de ne pas surinvestir l’idée du couple comme seule issue au bonheur. Il est important de sortir des modèles sociaux et de se concentrer sur les désirs et les passions personnels, qui peuvent inclure le travail, les associations, les voyages, l’amitié et les rencontres. Les célibataires doivent se demander si leur vie actuelle leur convient et s’ils s’autorisent suffisamment de choses pour se sentir épanouis.

*auprès de 1000 célibataires français, âgés de 18 à 45 ans représentatifs de cette population en France, du 7 au 11 février 2022, pour le site de rencontre Badoo. Ils ont répondu au questionnaire GAD-7 (pour « General Anxiety Disorder »), destiné à mesurer leur niveau d’anxiété et au questionnaire PHQ9 (pour « Patient Health Questionnaire » ).

Le syndrome de la cabane & célibat

Le symptôme de la cabane, également connu sous le nom de syndrome de la cabane, est un phénomène psychologique qui se produit lorsque les personnes se sentent en sécurité dans leur propre environnement et évitent les contacts sociaux en dehors de celui-ci. Ce phénomène peut être associé au célibat et à l’individualisme car les personnes qui vivent seules peuvent être tentées de rester dans leur environnement familier et de se replier sur elles-mêmes, évitant ainsi les interactions sociales avec les autres.

Lorsque nous sommes seuls, nous pouvons parfois avoir l’impression que nous sommes plus en sécurité dans notre propre environnement, car nous avons le contrôle total sur ce qui se passe autour de nous. Cela peut conduire à une aversion pour les interactions sociales avec les autres, car cela implique de sortir de notre zone de confort. Cependant, cela peut également être un symptôme de dépression ou d’anxiété, car l’isolement social prolongé peut affecter négativement notre santé mentale et notre bien-être général.

Le symptôme de la cabane peut également être associé à l’individualisme, qui est une tendance à se concentrer sur soi-même plutôt que sur les autres. Les personnes qui sont très individualistes peuvent avoir tendance à privilégier leur propre confort et leur propre sécurité plutôt que de chercher des interactions sociales avec les autres. Cela peut conduire à une vie plus solitaire et à une moindre satisfaction globale de la vie.

En somme, le symptôme de la cabane peut être un signe de solitude et d’isolement social, qui peuvent être favorisé par consèquence le célibat  Il est important pour les personnes célibataires de chercher des moyens de se connecter avec les autres et de sortir de leur environnement familier afin de maintenir une bonne santé mentale et un bien-être général.

 

 

 

 

Évolution des modèles de couple : de la domination patriarcale à l’égalité dans la relation amoureuse

Évolution des modèles de couple : de la domination patriarcale à l’égalité dans la relation amoureuse

Au fil des années, les modèles de relations de couple ont évolué. Le modèle patriarcal, dans lequel l’homme était considéré comme le chef de famille et avait le pouvoir de prendre des décisions, est en train de céder la place à un modèle plus égalitaire où les deux partenaires partagent les responsabilités et prennent des décisions ensemble.

Les femmes ont longtemps été considérées comme des subalternes dans la relation de couple, mais cela a commencé à changer dans les années 1960 avec le mouvement féministe. Les femmes ont commencé à revendiquer leur droit à l’égalité et à l’autonomie, ce qui a eu un impact sur la dynamique des relations de couple.

De nos jours, les couples s’efforcent de travailler ensemble pour prendre des décisions et résoudre les problèmes. Les rôles traditionnels sont remis en question et les deux partenaires prennent en compte les besoins et les désirs de l’autre.

Cependant, il reste encore beaucoup à faire pour parvenir à une véritable égalité dans les relations de couple. Les femmes continuent de subir des discriminations dans le monde du travail, avec des salaires inférieurs à ceux des hommes pour un travail similaire. Les stéréotypes de genre ont également un impact sur la dynamique des relations de couple, avec des attentes différentes pour les hommes et les femmes.

Il est donc important de continuer à promouvoir l’égalité dans tous les domaines de la vie, y compris dans les relations de couple. En travaillant ensemble, en remettant en question les stéréotypes de genre et en respectant les besoins et les désirs de l’autre, nous pouvons créer des relations plus saines et plus épanouissantes pour tous les partenaires impliqués.

Il est important de prendre conscience que nous n’avons pas d’histoire ou de modèles clairs pour les relations intimes et authentiques. Le modèle patriarcal dominant du passé, principalement influencé par la tradition judéo-chrétienne, n’est plus adapté. Aujourd’hui, les couples cherchent à être sur un pied d’égalité, avec une vision nouvelle de la richesse que peut offrir une relation amoureuse.

Malheureusement, nos écoles ne nous enseignent rien sur l’amour, ce qui rend encore plus difficile la tâche de construire des relations épanouissantes. En Occident, nous sommes les pionniers d’un nouveau modèle de couple, qui offre des possibilités infinies pour la réalisation personnelle des deux partenaires.

Il est essentiel de comprendre que la réalisation de soi peut passer, notamment, par la relation amoureuse. Cela signifie travailler ensemble pour créer une relation fondée sur l’égalité, la confiance, l’authenticité et la communication. En surmontant les modèles patriarcaux et en embrassant cette nouvelle vision de la richesse d’une relation amoureuse, nous pouvons atteindre un véritable épanouissement personnel et relationnel.

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